27 décembre 2013

Noël? Nouvel an? Bref

Bon. Le coup de gueule post-noël va être bref. Au-delà du fait que je n'aime pas cette fête, que l'ambiance qui s'en dégage me met mal à l'aise et que je n'aime pas particulièrement le message sous-jacent qu'elle délivre, je n'aime pas ce jour tout simplement. Veuillez m'excuser si mon plaisir n'est PAS d'être réveillée à 7 heures tapantes du matin par les lourds pas de ma sœur sur le parquet alors que j'ai dû à l'improviste dormir sur un matelas étalé sur le dit parquet à cause du squattage intempestif de ma ma grand-mère paternelle. 7 heures! Je suis une marmotte et on ne fait même pas l'effort, le jour le plus gentillet de l'année (soi-disant) d'attendre au moins 8 heures pour daigner réveiller la maisonnée. Mais non, c'est trop demander! Surtout après une mauvaise nuit. J'aurais su, j'aurais réveillé tout le monde à six heures moins dix du matin. Bref. Autant dire que l'esprit de noël ne flottait pas dans mon entourage immédiat le 25 décembre. J'étais même plutôt cassante, il m'a fallu au moins une heure pour commencer à être à peu près aimable.

Hors de ça, je déteste la période juste après noël et juste avant le premier de l'an, c'est une période que je trouve stressante. Tu appréhendes les repas de famille accompagnés de cris et de cadeaux, et de blagues lourdes de ton oncle qui commence à être imbibé.  Et j'ai un peu peur de la soirée du premier de l'an où je vais animer une soirée avec le matos d'un pote à mon père que je gère plus ou moins bien... Bref. Et les partiels au retour des vacances ne sont que la cerise sur le gâteaux.

Je déteste ces vacances et particulièrement les fêtes de fin d'année. Malgré tout, je vous souhaite d'en profiter, si je n'aime pas ma famille et l'ambiance, j'espère que vous, vous allez apprécier. Bisous!

9 décembre 2013

Uniques et heureux de l'être.

"Nous avons tous besoin d'être accepté, mais soyez persuadés que vos convictions sont uniques, les vôtres, même si on les trouve anormales ou impopulaires et même si le troupeau dit: c'est mal."
Professeur Keating, Le Cercle des poètes disparus.


2 décembre 2013

Coloration

Bon, voilà déjà quelques mois que je vous embête avec mes histoires de rousseurs. J'ai encore essayé, cette fois-ci chez moi. Boooon... Comment dire? Je me suis plantée, déjà je n'avais pas de pinceau alors me voilà en mode gant et gadoue à me tartiner le produit sur les cheveux, à la main. Vive la travail de sagouin mal réparti sur la surface du cheveux. Deuxième problème: Je n'avais donc pas de pinceau donc j'ai décidé que faire précisément les racines puis le reste relevait de l'impossible, c'était le cas, mais du coup, mes racines sont toujours magnifiquement visibles et ce, bien mieux qu'avec mon ancienne colo qui était presque semblable à ma couleur naturelle (compter une nuance cuivrée en plus). Bon.
C'est la couleur que j'essaye d'atteindre, j'en suis encore loin avec mes reflets cuivrés...
J'ai compris la leçon : primo, je veux une couleur plus claire donc mélange 1:2 avec l'oxydant et pas 1:1 comme j'ai eu le malheur de faire, mes amies ne voient même pas la différence ; deusio: acheter un pinceau (ce ne sera pas du luxe) ; tertio: attendre juste avant les fêtes avant de refaire l'essai pour ne pas tuer mes cheveux en deux semaines chrono. Je sens que l'attente va être longue... et je ne suis pas réputée pour ma grande patience.

Bref, je n'ai qu'à m'en prendre à moi-même mais en tout cas, je suis contente d'avoir pu trouver une bonne solution pour mes cheveux, et à moindre coût en plus! Que demander de mieux?

1 décembre 2013

Ah... Noël... Le temps des petites clochettes tintinnabulantes et des magasines harceleurs...

Voilà, je crois que presque tout est dans le titre, ces derniers temps je commence à détester noël. Pourquoi?
Je ne peux pas mentir, j'aime l'idée mais voyez-vous j'ai la sensation que depuis déjà plus d'un demi-siècle, le vrai esprit de noël s'échappe lentement mais surement pour devenir une simple excuse pour consommer à foison. Notre putain de société de consommation est en train de pourrir toute la beauté d'un fête qui était à l'origine là pour rassembler les familles même lorsque l'on était pas croyant! Maintenant, les enfants ne pensent qu'à leurs cadeaux et à leur calendrier de l'avent plein de chocolats ou de playmobiles. Tout est logique. Cette fête me sort par les trous de nez. C'est aussi la fête ou les hypocrites font genre qu'ils vous aiment bien pour avoir un putain de cadeau!! Mais où est l'intérêt? C'est quasiment pareil que lorsqu'enfant vous apportiez un paquet de bonbons à l'école pour votre anniversaire et que tout ceux qui crachaient sur vous toute l'année devenaient des enfants de chœur rapaces pour en avoir. (Chose auquel j'ai vite mis un terme en amenant un petit paquet et en envoyant bouler tout les importuns.)
Bref.
J'en viens à ne plus aimer cette fête, je n'en vois plus l'intérêt, elle me semble vide et terne, les gens en font trop. De plus, je sais maintenant qu'elle est aussi là pour faire oublier le solstice d'hiver qui est une célébrations païenne et donc interdite mes enfants voyons! Les païens sont dangereux, ils vont venir vous faire du mal dans votre sommeil! Croyez plutôt en ce gros monsieur avec une grosse barbe qui va passer la cheminée, entrer par infraction chez les gens pour manger des cookies et déposer des cadeaux au pied du sapin, cadeaux que vos parents auront très gracieusement acheté! Sans oublier qu'il portera un costume sponsorisé par une marque américaine que vous connaissez bien!

Bref.
Tout ça pour dire que j'en ai marre de voir des publicités pour noël deux mois avant la fête, le lendemain de la Toussaint, et que si je pouvais je ferais ma petite révolution contre ça. J'aimerais bien ne plus la fêter avec ma famille, genre si je pouvais je choisirais plutôt la famille que je me suis créée (traduction, mes amis) et on ne serait pas obligés de s'offrir des cadeaux. Ce serait juste pour le plaisir d'être ensemble. Mais je suis encore sous la tutelle parentale, j'ai pas de chez moi où je peux me terrer autre que la maison familiale et je n'ai donc pas je choix. Et je déteste ça. Quand je pourrais, d'ici quelques années, et que j'aurais de bonnes raisons pour ne pas revenir (genre, la distance, les études,...) et bien je le ferais comme je le sentirais et au diable "les traditions"!

Voilà mon coup de gueule pré-noël. Bientôt la seconde partie avec celui post-noël qui a de grandes chances d'arriver très bientôt (dans vingt-cinq jours, voire vingt-six).